When The Weather Is Fine

Drama Coréen de 16 épisodes de 70 minutes diffusé du 24/02/2020 au 14/04/2020

Il est adapté du roman de Lee Do Woo, publié en 2018.

Réalisateur : Han Ji Seung     Scénariste : Han Ga Ram     Genre : Romance-Drame-Amitié-Famille-Tranche de vie

Lead Masculin : Seo Kang Joon dans le rôle de Im Eun Seob

Lead Féminin : Park Min Young dans le rôle de Mok Hae Won

Synopsis :

Une histoire sur le pardon, la guérison et l'amour qui se déroule autour d'une petite librairie à la campagne.

Mok Hae Won est une femme ordinaire avec un bon caractère. Elle joue du violoncelle depuis qu'elle est enfant. Hae Won a commencé sa vie sociale avec sa capacité à jouer du violoncelle mais, pendant ce temps, elle a été blessée émotionnellement par les autres. Pour cette raison, Hae Won ne fait pas confiance aux gens et elle a fermé son cœur aux autres. Hae Won en a assez de sa vie à Séoul et décide de retourner dans son village natal de Bookhyun. Là, elle rencontre Eun Seob qui dirige une librairie nommée «Goodnight Bookstore». La vie quotidienne d'Eun Seob est simple; se réveiller, boire un café, lire un livre et écrire sur son blog. Mais tout comme notre autre protagoniste, il renferme pas mal de secrets.

Pourtant, les chemins de Hae Won et Eun Seob ne tarderont pas à se croiser, chamboulant au passage la vie paisible du jeune homme.

Mon avis : 18.5/20

Honnêtement, je ne pensais pas prendre autant de plaisir à suivre ce Drama ! Vraiment.

When The Weather is Fine possède un rythme lent, surtout au début de l’œuvre. Cependant, lent ne signifie pas ennuyant, bien au contraire. Il m’a vite captivé mais surtout m’a entrainé dans ce petit de village de campagne avec ses fantastiques habitants comme si j’y vivais réellement ! Peu à peu, je me suis mêlé de leur vie comme si moi-même, j’étais un des personnages de l’histoire. Et cela comme sensation, que c’est agréable ! Surtout lorsque la cinématographie est aussi ravissante et chaleureuse. Ainsi que l’OST qui est d’une douceur sans précédent, ce qui colle parfaitement au rythme du Drama ainsi qu’à ses paysages.

Je peux comprendre que certains n’aiment pas cette lente cadence, néanmoins, je pense sincèrement qu’après avoir regardé les 3 premiers épisodes, vous ne pourrez plus vous passer de ce rythme qui vous ennuyait. Je suis également persuadé que le visionnage de When the Weather Is Fine est encore plus appréciable en hiver, lorsqu’il fait froid et que les nuits sont longues. Du fait de ses personnages et de ses intrigues, il apporte cette chaleur qu’on a cruellement besoin.

En parlant des personnages, qu’ils soient principaux ou secondaires, il nous est impossible de ne pas tomber sous leurs charmes ! Nos deux protagonistes, qui sont plutôt froids et distants, vont nous offrir une romance d’une chaleur et d’une passion tout bonnement sensationnelle, tout comme leur alchimie d’ailleurs. Même leurs développements personnels nous tiennent en haleine pendant ces 16 épisodes. Entre le premier épisode et le dernier, on observe clairement une différence, et personnellement, ce genre d’évolution, c’est ce que j’adore dans les séries. 

"Quand la solitude rencontre la solitude et devient le confort. Quand la tristesse rencontre la tristesse et devient le bonheur. Quand une brise fraîche entre en collision avec une autre brise fraîche et devient de la douce neige. C'est ce qu'est la chaleur."

Cela va de même pour les personnages secondaires qui sont si attachants ! Je pense notamment à la sœur d’Im Eun Seob, Im Hwi, qu’est-ce qu’elle m’a fait rire ! À chaque fois qu’elle apparait à l’écran, on a automatiquement un sourire qui se dessine. Je pense également à Lee Jang Woo, à tous les membres du club de lecture, à la mère et la tante de Hae Won, etc. Tout au long du Drama, j’ai eu l’impression d’être un habitant du village et d’être mêlé à leurs intrigues. Et puis, comme c’est un petit village de campagne, tout le monde sait tout de tout le monde, ce qui renforce davantage ce sentiment d’appartenance. Ils vont me manquer…

                                     

Cependant, When The Weather Is Fine n’apporte pas que de la bonne humeur et du réconfort. Il nous propose également quelques intrigues plutôt sombres mais malheureusement très réalistes. La manière dont elles sont abordées, par exemple, celle sur la violence conjugale, c’est fait avec une telle maturité et vérité, que c’en est encore plus rageant et démoralisant. Je me souviens clairement de quelques répliques lorsqu’on lui demande pourquoi elle ne quitte pas son mari qui la tabasse, sa réponse est encore plus déchirante que la situation qu’elle vit. Mais malheureusement, c’est celle qu’on retrouve dans la vraie vie également.

Ce qui m’a également fasciné, c’est la qualité d’écriture de l’auteur et de la scénariste. C’est fou la façon dont les intrigues s’enchaînent aussi bien, s’emboîtent aussi bien, évoluent aussi bien pour finir aussi logiquement. Rien ne parait de trop ou de pas assez, j’ai l’impression d’avoir fini chaque épisode sur une bonne note, ou du moins, toujours sur la bonne note. Toute façon, pour qu’un rythme lent soit aussi captivant, c’est que tout a été très bien pensé et géré de A à Z.

Je peux prendre en exemple les extraits de romans/poèmes/nouvelles partagés par le club de lecture,  qui d’une, sont complétement fabuleux, et de deux, qui font échos à un moment ou un autre aux personnages, à leurs histoires ainsi qu’à leurs développements. Rien n’est laissé au hasard.  Cette qualité et rigueur d’écriture est à souligner, à apprécier et à savourer. Juste, Bravo.

Personnellement, avant d’écrire mon avis, je me suis regardé le Drama une deuxième fois. J’ai encore plus adoré que le premier visionnage. C’est sûrement dû au fait que, puisque je connaissais toutes les vérités, les comportements « étranges » de certains personnages prenaient tout leur sens, qu’à chaque épisode j’étais si ému, touché et attristé (parfois bien enragé). 

Je conseille grandement ce Drama (encore plus merveilleux en hiver) à tous ceux qui veulent profiter d’une œuvre chaleureuse, magnifique, romantique mais également sombre, déchirante et enrageante. Croyez-moi, vous n’aurez aucun regret en la regardant.

When The Weather Is Fine mérite clairement d’être visionné et apprécié à sa juste valeur ! Une pépite dans son genre et ses thèmes, d’après moi en tout cas.

                  

L’histoire :

L’histoire se concentre principalement sur Im Eun Seob et Mok Hae Won, l’un est un jeune adulte qui dirige une libraire dans un petit village de campagne tandis que l’autre, est une professeure de musique vivant à Séoul mais qui se sent asphyxiée par la vie qu’elle mène là-bas. Elle va donc décider de revenir dans son village natal afin de reprendre son souffle.

Alors qu’ils ont étudié dans le même lycée, ils n’ont jamais été réellement proche, malgré le fait qu’Eun Seob avait un coup de cœur pour elle. Cependant, cette fois, ils vont sans cesse tomber l’un sur l’autre (être voisins, ça aide) et vont peu à peu se rapprocher.

Un des gros charmes de cette série est sans conteste la relation entre nos deux protagonistes. Ils nous offrent une romance dit « slow burn » (combustion lente / qui brûle à petit feu) qui se confond parfaitement au rythme du Drama. Le développement de leur relation paraît si naturel, sincère et honnête qu’en tant que spectateurs, on est limite en train d’exiger un rythme encore plus lent pour voir davantage ce magnifique duo. Parce que oui, honnêtement, ils nous offrent une alchimie complétement flamboyante, qui mêlée à leur belle histoire d’amour, nous conforte et nous émerveille.

Néanmoins, puisque tous les deux connaissent un passé difficile et plus ou moins sombre, cela pose quelques problèmes dans leur relation, notamment au niveau de la communication. Mais ici, ce qui est beau, même s’ils n’arrivent pas à donner mots à leurs sentiments, ils vont le faire à travers des gestes plus mignons les uns que les autres. Surtout Eun Seob qui du fait de ses actions, va réconforter le cœur gelé de notre musicienne. Tout comme ceux des spectateurs d’ailleurs. Leur couple prend tous sa beauté une fois qu’ils ont réussi à briser les murs de l’un et de l’autre. Mok Hae Won nous montre son vrai visage, une jeune femme très mignonne qui ne fait que sourire lorsqu’elle est heureuse. Son magnifique sourire nous charme et nous réconforte.

Malheureusement, c’est aussi ce magnifique sourire qui va nous faire souffrir. En effet, alors qu’elle commence à enfin se sentir heureuse, libre de toute pression, l’intrigue autour de la mort de son père refait surface. On va voir ce beau sourire se transformer en stupeur, en peur, en incompréhension et en horreur. À la suite des révélations, elle est torturée par ce qu’elle apprend et par le choix qu’elle doit faire. Psychologiquement, on ne peut même pas imaginer ce que traverse le personnage de Mok Hae Won.

/!\ SPOIL (à surligner) Lorsqu’on apprend que le véritable meurtrier de son père violent est sa tante et non sa mère, ça fait un choc. Je n’imagine même pas la culpabilité que Sim Myung Yeo doit ressentir, mais ce qu’elle s’inflige comme douleur est un bon indicateur de l’autopunition qu’elle s’inflige. Même si c’est sa sœur qui a décidé de prendre le blâme à sa place, elle reste celle qui a tué le père de sa nièce. Je n’imagine pas non plus la culpabilité que ressent la mère, qui se dit que si elle avait quitté son mari, rien de tout ça ne se serait passé ainsi. Mais c’est là où le Drama prend toute sa maturité : pourquoi est-ce qu’une femme ne quitte pas son homme alors qui la tabasse ?  Parce que ce n’est pas aussi simple. La pression psychologique, le fait que ce soit le père de son enfant sachant qu’il est un père exemplaire, le fait qu’il est d’une douceur incroyable avec les autres et à 90% du temps avec sa femme, …, tout ça apporte cette pression qui empêche Sim Myung Joo de quitter Mok Joo Hong. Les flashbacks sont faits avec une telle maturité et vérité que cela en est encore plus attristant et enrageant. Personnellement, j’avais le poing serré à chaque flashback sur le mari, et le voir se faire écraser par la voiture était un moment de délivrance. FIN SPOIL /!\

                                      

Cependant, Mok Hae Won n’est pas la seule à connaître un passé difficile. Im Eun Seob, ou devrais-je dire Kim Ji Ho, est loin d’avoir eu une enfance banale. C’est d’ailleurs ce qui explique son caractère d’aujourd’hui et du reste de sa famille (surtout celui de sa mère). Personnellement, les personnages introvertis, timides, silencieux et renfermés sur eux-mêmes sont loin d’être mes rôles préférés, cependant, lorsque leurs passés expliquent leurs comportements, ils deviennent pour moins des protagonistes d’une richesse abondante. J’affectionne grandement la logique d’écriture, donc lorsqu’ils nous montrent le passé d’Eun Seob, comment ne pas être convaincus de la profondeur du personnage ?  

Im Eun Seob : « J’étais si heureux à l’époque […] C’est pourquoi j’ai si peur d’être heureux maintenant »

Alors oui, nos deux protagonistes et leurs histoires sont ébouriffants, mais les personnages secondaires le sont tout autant. Je pense notamment à la petite sœur d’Eun Seob, Im Hwi, qui est d’une sincérité et d’une mignonnerie à faire sourire n’importe qui. À chaque scène où elle est présente, on ne peut s’empêcher de rire. Elle est clairement ce qu’on appelle une personne lumineuse. Mais elle est loin d’être la seule, tout le club de lecture nous donne cette impression, notamment lors de leurs réunions ! Lee Jang Woo est d’ailleurs l’un d’entre eux, un très bon ami de notre libraire, qui possède une personnalité hilarante. La manière dont il parle, la vitesse dont il parle, ses mimiques mais surtout le très bon cœur qu’il possède, fait qu’on s’attache facilement à ce dernier. Sa petite romance avec Ji Eun Shil est un délice à suivre.

Impossible de ne pas mentionner la tante et la mère de Hae Won également. Même si ces trois-là possèdent une relation plutôt atypique, il est certain qu’elles représentent respectivement tout pour elles. Alors qu’elles paraissent distantes, avec les différents flashbacks et révélations, j’ai été énormément touché de l’amour qui existait entre les deux sœurs et de l’affection qu’elles portent à notre musicienne. Même si elles ne le montrent pas autant que Yoon Yeo Jung (la mère d’Eun Seob) le fait pour son fils , elles adorent plus que tout Hae Won.

Enfin, je retiens particulièrement l’intrigue entre Mok Hae Won et Kim Bo Young, qui traite de sujets très importants : confiance, perspectives et malentendus. Tout comme les autres histoires du Drama, la scénariste prend le temps de traiter cette relation afin que rien ne soit hâtif et paraisse naturel, et c’est clairement le cas. Cependant, je dois dire que, d’après moi, Kim Bo Young est en tord du début jusqu’à la fin et que je trouve ses excuses nulles, vraiment. Pourquoi ? car de l’épisode 1 à 16, elle trouve toujours des excuses à son comportement. Pas une seule fois, non, pas une, où elle ne sort pas une seule justification à son comportement. Et c’est pour cela que j’ai vraiment apprécié cette intrigue car elle reflète parfaitement l’être humain. Que ce soient les autres ou nous-mêmes, on essaie sans cesse, consciemment ou inconsciemment, de se trouver des excuses ou une échappatoire.

Mok Hae Won : « Je déteste ce mot : malentendu. Si vous avez fait quelque chose de mal, admettez simplement que vous avez fait une erreur et demander pardon. Je pense que ce n'est qu'une excuse. Ça veut juste dire: je n'ai rien fait de mal, tu t’es trompé. »

Bon, je vais me stopper là sinon je crois que je ne serais pas capable de m’arrêter. Il reste encore tellement de choses à dire sur les personnages et les différentes intrigues mais je préfère vous laisser découvrir à quel point cette œuvre est d’une richesse ainsi que d’une beauté à couper le souffle.

Mention spéciale aux extraits de romans/poèmes/nouvelles que nous raconte le club de lecture, qui sont d’une qualité romanesque !

Les romances :

Im Eun Seob et Mok Hae Won nous offre une romance dit Slow Burn qui nous apporte à nous, spectateurs, un réconfort très chaleureux.

Malgré leurs sombres passés, leurs caractères plutôt froids, leurs sentiments bravés, ils vont peu à peu grandir l’un en l’autre, se rapprocher et s’aider mutuellement à devenir heureux. Ils nous font découvrir la beauté, la pureté ainsi que la chaleur d’un vrai amour. Comment ne pas se sentir bien devant leur couple ? Surtout devant le sourire de Park Min Young…

Mok Hae Won : « Il est une personne chaleureuse, quand je suis à côté de lui, je me sens au chaud, comme une bouilloire sur une cuisinière »

Cependant, leur histoire est loin d’être facile, il va falloir de la compréhension, de la patience, de la confiance et de la communication. Et c’est sûrement cette réalité qui nous plaît, tout comme la sincérité qui prédomine entre eux.

Park Min Young et Seo Kang Joon nous offre une alchimie d’une intensité flamboyante ! Mais est-ce vraiment étonnant puisque c’est Park Min Young ? Qu’importe avec qui elle joue, rien n’est ordinaire. Cela étant, il faut avouer que Kang Joon est loin d’être un acteur lambda, bien au contraire. J’ai plongé la tête en avant dans leur romance et j’en ressors touché et réconforté ! Leurs scènes communes sont si douces, si chaleureuses et si mignonnes qui donnent envie d’appuyer sur le bouton : revenir en arrière.

Honnêtement, j’ai adoré cette romance du début jusqu’à la fin. Elle est d’une sincérité surprenante qui nous captive pendant les 16 épisodes. Rien que pour eux, je peux facilement vous recommander When The Weather Is Fine !

                             

La romance entre Lee Jang Woo et Ji Eun Shil est certes courte (apparaît vers la fin du Drama) mais elle est un d’un délice exquis. Les dialogues qu’ils entretiennent sont hilarants et leurs caractères respectifs vont si bien ensembles. La manière dont Eun Shil fait perdre tous ses moyens à Jang Woo est beaucoup trop drôle. Cela va de même dans l’autre sens, le caractère unique de ce dernier amoindri à la fois son premier amour mais également nous, spectateurs.

Lee Jae Wook et Yang Hye Ji nous offre une alchimie très puissante, comme si le feu et la glace se rencontrait. Il y a quelque chose de spécial qui se dégage de leurs scènes communes, ce qui est un vrai plaisir à suivre.

                                  

 

Les personnages :

Im Eun Seob (joué par Seo Kang Joon) est un jeune libraire vivant une vie plutôt simple. Il semble être une personne réservée et peu bavarde. Cependant, on apprend vite qu’il renferme un passé un peu délicat. D’habitude, je ne suis pas trop fan des personnages introvertis, silencieux mais je dois avouer que j’ai fortement apprécié ce protagoniste. Son silence ne m’a jamais, ou que très rarement frustré, au contraire, je l’ai trouvé réconfortant. De plus, son caractère s’explique par son passé, montré avec de très bons flashbacks, ce qui prouve la profondeur du personnage, et personnellement, cette qualité d’écriture, j’adore. Et puis, même s’il ne parle pas beaucoup, il communique principalement avec ses actions et ses petites attentions, ce qui est parfois encore plus utile et expressif que n’importe quelle parole. En résumé, alors que j’avais peur de ne pas accrocher à ce personnage, il m’a finalement énormément touché par son caractère, son passé et sa profonde gentillesse.

Seo Kang Joon est un très bon acteur qui prouve une fois de plus qui maitrise parfaitement son jeu. Rien ne semble superflu, tout est juste et une fois de plus, il nous convainc très facilement.

 

Mok Hae Won (jouée par l’incroyable Park Min Young) est une jeune professeure de musique qui vit à Séoul. Malheureusement, elle se sent asphyxiée là-bas et décide donc de faire un break à son village natal. Tout comme notre protagoniste, elle est marquée par un sombre passé bouleversant. J’ai vraiment bien aimé ce personnage, que ce soit son caractère, son comportement, ses idées, ses opinions… Elle connait un bon développement qui, grâce à la qualité d’écriture de la scénariste, est un vrai plaisir à suivre. Elle m’a d’ailleurs énormément ému lorsque les difficultés de son passé sont révélées et que malgré tout, elle essaie de bien vivre. Son passé ainsi que sa relation avec sa mère et sa tante, plutôt complexe, apporte énormément de profondeur et de richesse à Hae Won, et donc pendant 16 épisodes, j’ai été impressionné et touché. Enfin, je dois avouer que cette dernière m’a charmé lorsqu’elle sort avec Eun Seob : son sourire et ses petites attentions là…

Park Min Young…mon actrice préférée…est une de fois plus impressionnante et fabuleuse ! La dureté de son visage lors des scènes difficiles : saisissant ! Son visage et son sourire lors de moments intimes : majestueux ! Je ne suis peut-être pas le plus objectif, mais il faut avouer que le charme et le talent de Park Min Young sont clairement au-dessus de la moyenne.

 

Lee Jang Woo (joué par Lee Jae Wook) travaille à la mairie de son village et est le meilleur ami d’Eun Seob. Sa personnalité est complétement à l’opposé de notre personnage principal ce qui nous offre des scènes très comiques. Bon, c’est un personnage  qu’on est obligé d’adorer. Il est vraiment l’ami qu’on a tous besoins, ou dans le cas d’Eun Shil, il est celui dont elle aurait besoin. Personnellement, il m’a fait énormément rire et j’ai grandement apprécié suivre son histoire avec Eun Shil. Bref, très bon personnage !

Lee Jae Wook est un jeune acteur très talentueux : j’ai déjà vu tout les dramas où il apparait, avec des personnages plutôt différents, et il est clairement très solide dans ses prestations.

Im Hwi (jouée par Kim Hwan Hee) est la petite sœur d’Im Eun Seop qui possède une personnalité très joyeuse, sincère et lumineuse. À chaque scène où elle apparait elle a dessiné sur mon visage un large sourire. Mais elle m’a également très ému lors de certaines scènes avec son grand frère. Impossible de ne pas aimer ce personnage qui apporte énormément de bonne humeur et d’humour au Drama.

Kim Hwan Hee est une jeune actrice très convaincante. Ce qui n’est pas étonnant lorsqu’on sait qu’elle joue depuis ses 6 ans.

 

Shim Myung Yeo (jouée par Moon Jung Hee) est une écrivaine qui n’écrit plus et est la tante de Mok Hae Won. C’est dur d’expliquer, voire impossible d’expliquer ce personnage sans spoiler, alors je vais juste dire que Myung Yeo est un personnage très profond et très riche. Toutes ses actions ont du sens une fois qu’on connait son passé ! Elle m’a énormément touché.

Moon Jung Hee nous délivre une prestation très solide et d’une justesse implacable.

 

Shim Myung Joo (jouée par Jin Hee Kyung) est la mère de Mok Hae Won. À la suite d’un crime qu’elle a commis, elle a dû passer 7 ans en prison et donc à confier sa fille à sa sœur et à sa mère. Tout comme sa sœur, il m’est impossible d’expliquer ce personnage sans spoiler, alors, je vais juste dire que tout comme Myong Yeo, elle est un personnage très intéressant, profond et riche. Elle est la représentation d’une réalité malheureusement trop présente dans la vraie vie, et de la manière dont cela a été montré, j’ai été grandement touché, attristé et enragé. Son histoire est à absolument découvrir.

Jin He Kyung nous offre une prestation très juste. Elle a très bien compris son personnage et arrive très bien à la retranscrire. 

La réalisation :

J’ai adoré la réalisation ainsi que la cinématographie. Les couleurs, les scènes, les jeux de lumière, etc. apportent énormément de profondeur et de chaleur à l’histoire, mais également accentuent la sombreur et l’angoisse de certaines intrigues.

L’OST :

L’OST est pour moi excellente ! Les musiques collent parfaitement à l’ambiance du Drama ! Et puis personnellement, c’est le style de musique que j’adore donc j’ai été plus que convaincu !

Fin et Conclusion :

When The Weather Is Fine nous offre une histoire touchante, réconfortante, romantique et bouleversante. Le Drama nous propose une romance « slow burn » qui est un vrai délice à suivre, tout comme la deuxième romance ainsi que différentes amitiés. Les alchimies et complicités de nos protagonistes et personnages secondaires sont à absolument découvrir.

Quant à la fin, elle répond parfaitement à mes attentes. Pendant l’intégralité de la série, la qualité et la logique d’écriture étaient très hautes alors j’espérais que ça se finirait de cette manière. Et je n’ai pas été déçu, bien au contraire !

Pour conclure, j’ai passé un formidable moment devant When The Weather Is Fine ! J’ai d’ailleurs pris encore plus de plaisir lors de mon deuxième visionnage que lors du premier : sans doute grâce à la qualité d’écriture et aux jeux d’acteurs. Tout est si bien écrit et réalisé dans ce Drama, que cela soit les romances, les personnages, les amitiés, les intrigues, les flashbacks et j’en passe. J’ai été réconforté, attristé, enragé, puis re-réconforté, j’ai ri, j’ai pleuré, j’ai énormément ri, j’ai juste pris un maximum de plaisir pendant ces 16 épisodes. C’est pourquoi je ne peux que grandement vous le conseiller ! (Sa qualité décuple en hiver).

Foncez et soyez réconfortés !